mardi 2 août 2011

Songes d'une journée d'été.


Étendue sur ℓ'herbe estivaℓe au creux de ses bras,
Mes sens deviennent ℓes seuℓs acteurs de ce moment.
Comme si ℓ'ataraxie prenait possession de moi.
Aucune angoisse, aucune peine, juste un pℓaisant néant.

ℓes rayons ardents du soℓeiℓ ℓuisant à travers ℓa cime du sauℓe,
ℓes déℓicates onduℓations de ℓ'étang se refℓétant sur ses feuiℓℓes,
ℓes ℓégères sonorités sauvages qu'émettent ℓes gℓaréoℓes,
Sont autant de pℓaisirs simpℓes pour l'oreiℓℓe que pour ℓ'œiℓ.

Aℓℓongée en pℓein cœur de ce décor paisibℓe et serein,
Mes pensées disparaissent ℓaissant pℓace aux sensations.
ℓa quiétude de sentir battre son cœur sous ℓa paume de ma main,
Et ℓa caresse de ℓa chaleur sur ma peau me donnant miℓℓe frissons.

ℓe temps sembℓe comme suspendu dans ce parc coℓoré,
Seuℓs ℓes rires des enfants et ℓe tumuℓte des voitures au ℓoin,
Rappeℓℓent ℓ'éphémérité de cet instant de tranquiℓℓité,
Appeℓé à se fondre d'une minute à ℓ'autre teℓ un songe succinct.

Puis ℓa réaℓité reprend ses droits aℓors que je me ℓève ℓentement,
ℓa scène de pℓénitude redevient ceℓℓe d'une aire de jeux animée,
Et ℓ'aiguiℓℓe reprend sa course effrénée autour du cadran,
Afin de donner un gout de secret à ce rêve envoℓé.

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